Le Club de lecture de la médiathèque vous propose une chronique rédigée par l'un ou l'une de ses participant(e)s sous forme de compte-rendu de lecture, aujourd'hui :
Une douce flamme de Philip Kerr, Ed. du Masque, 2010 (dispo?)
1950, Bernie Gunther fuyant l'Allemagne, arrive en Argentine où il retrouve nombre de ses "vieux kamarades" nazis accueillis par le gouvernement du général Peron. Malgrè son nouveau nom, il est vite repéré par le général Montalban, un officier de la police secrète, un des ses admirateurs. Celui-ci le charge d'enquêter sur une affaire qui n'est pas sans lui rappeler une autre non élucidées, en 1932 alors qu'il était commissaire à Berlin. Ces sera l'occasion d'un retour en arrière, sous l'éphémère République de Weimar, avant l'arrivée des nazis au pouvoir
A Buenos Aires, Bernie est aussi chargé de retrouver une jeune fille dont le père est l'un des banquiers allemands qui gère l'immense fortune nazis.
Sa réputation lui fait, par ailleurs, rencontrer une jeune femme dont la famille, émigrée juive, a disparu à son arrivée dans le pays.
Les enquêtes s'entrecroisent, les fils se nouent progressivement révélant une réalité que Bernie croyait avoir enfin laissée derrière lui, en faisant toute la lumière sur les pratiques du sinistre régime Peron.
M.B.
Pour ceux qui n'ont pas encore lu La trilogie berlinoise de Philip Kerr (dispo?)
M.B.
Pour ceux qui n'ont pas encore lu La trilogie berlinoise de Philip Kerr (dispo?)
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